En demandant à l’État d’encourager les entre-prises à réduire la durée du travail à 32 heures sans réduire le salaire, l’initiative propose de faire d’une pierre deux coups. En répartissant le même volume de travail sur plus de travailleuses et travailleurs, on lutte contre le chômage en créant de l’emploi, tout en améliorant sensiblement la qualité de vie de chacun-e : plus de temps libre, de repos, de loisirs, d’activités créatrices ou solidaires. C’est également plus de temps pour s’occuper des enfants et des proches et la possibilité de mieux répartir ce type de tâches entre hommes et femmes, qui plus est corrigeant les inégalités de revenus résultant du temps partiel auquel sont contraintes de très nombreuses travailleuses